Il suffira d’un(e) sign(atur)e ! – Une petite série pour comprendre les écueils des transferts – Episode 2

Ou presque … car tout le monde ne joue pas le jeu de la modernité.

Depuis plus de 7 ans déjà, les fonctionnaires européens ont eu la bonne idée de définir les conditions d’utilisation de la signature électronique, et donc ainsi trois niveaux de sécurité qui sont communs à tous les européens souhaitant signer à distance ! Belle idée, réalisée avec précision[1].

Un Européen comme vous, par exemple, qui souhaitez souscrire un nouveau contrat, confirmer votre accord, ordonner une modification substantielle …, trouve bien pratique de signer à distance, d’accélérer les choses en signant un document en quelques minutes, avec la même sécurité et autant de validité que s’il s’était déplacé, la modernité a du bon !

Mais tout le monde ne joue pas le jeu … une fois de plus … surtout lorsqu’il s’agit de transferts !

Lorsque vous avez initié le transfert de votre PER vers notre contrat associatif, il vous a été proposé en toute simplicité de signer électroniquement le document pour confirmer votre accord. Mais rien n’avance car la validité de votre signature est contestée par le gestionnaire « perdant ».

Le dossier est pris en compte, mais n’aboutit pas …

Certains assureurs ignorent totalement les signatures électroniques et s’obstinent à demander une confirmation papier avec signature manuscrite … manœuvre peu discrète pour retarder un transfert !

Eres est à vos côtés pour rappeler les assureurs « à l’ancienne » que votre signature est bien valable, et PERF soutient activement ces réclamations par des actions collectives.

La signature électronique a de l’avenir, n’hésitez pas à en être un pionnier !


[1] Règlement eIDAS du Parlement Européen et du Conseil, en date du 23 juillet 2014.